5 astuces pour écrire sans fautes d'orthographe
Comment écrire un article de blog ou un post sans la moindre faute d’orthographe ? C’est bien la question que doit se poser tout copywriter, entrepreneur ou rédacteur à ses débuts.
Il se trouve qu’il n’y a pas une réponse mais plusieurs à ce sujet. Et certaines d’entre elles, comme vous allez le lire, sont contre-intuitives.
Dans cet article, je vais vous expliquer comment écrire sans fautes (ou alors très peu) pour de très nombreux scénarios :
écrire un post Linkedin
etc.
Contexte
Avant toute chose, rappelons quand même l’importance d’une écriture bien orthographiée : soigner votre crédibilité, montrer votre professionnalisme, et afficher son sérieux.
Bref, donner de précieux points à votre personal branding (marque personnelle en français).
Et dans le cadre d’une activité professionnelle comme indiquée plus haut, c’est juste indispensable.
Pour information :
Aux États-unis, la perte a été chiffrée : la National Commission on Writing a estimé à plus de 3 milliards de dollars annuels les sommes dépensées par les entreprises pour pallier les déficiences des écrits des employés américains.
D’après un sondage IPSOS réalisé pour le Projet Voltaire, 92 % des employeurs jugent que les fautes d’orthographe dégradent la réputation et l’image de leur entreprise. Et 80 % d’entre eux écartent les candidats ayant des lacunes orthographiques et rédactionnelles.
Voilà pour les enjeux mais si vous êtes en train de lire cet article, c’est que vous êtes déjà sensibilisé au sujet.
Ceci dit, pour se donner davantage de motivation, rien de tel qu’un rappel de l’importance de certains enjeux.
Alors voici le top des astuces pour limiter* considérablement le nombre de fautes d’orthographe.
1. Écrivez, écrivez et écrivez
Il pourrait y avoir ici comme un paradoxe : être si paralysé par le risque d’écrire des fautes qu’au final vous n’écriviez plus du tout ou beaucoup moins. Avec le résultat de ne pas avancer…
Il va de soi que cela serait une grave erreur.
On ne peut progresser en ne faisant rien.
Ici, le principal, l’essentiel même, est la correction. Vous avez fait une faute. Bon, c’est dommage. On essaye de comprendre ce qu’il s’est passé. On corrige bien sûr et on passe à la suite.
Ici, internet montre ses avantages. Sur cet article par exemple et même l’ensemble de ce site dédié à aider les entrepreneurs, si vous me signalez la moindre faute, elle est corrigée dans la journée. Voire l’heure si je suis disponible à l’instant.
Donc foncez.
Si critiques, ne les prenez pas personnellement. Vous avez autre chose à faire. Quand vous avez appris à marcher, vous êtes sans doute tombé plus d’une fois. Est-ce que cela vous a empêché de continuer ? Non. Alors ici c’est la même.
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2. La relecture
C’était il y a quelques années et cela a été un grand choc pour moi : plus de 50% des fautes que je faisais pouvaient être évitées via une relecture.
Je répète tant l’information me paraît importante à signaler : plus de la moitié des fautes étaient corrigées lors de la rédaction via une simple relecture à haute voix.
La relecture est une arme massive, car non seulement elle permet, comme je l’ai indiqué plus haut, de corriger un très grand nombre d’attentats à la langue de Molière mais à cela elle permet de rendre votre texte plus fluide.
Dans un monde idéal : votre relecture plus celle de tierces. Un regard extérieur c’est top.
Seul ou pas seul pour la relecture, voici ma préconisation :
Une première relecture.
Vous laissez reposer une vingtaine de minutes (par exemple en allant lire d’autres articles de ce magnifique blog)
Une seconde (et salutaire) relecture.
3. Le retrait tactique
Je vais vous faire une confidence : je ne suis pas bon sur le sujet de l’orthographe. En tout cas, je ne m’estime pas bon. Et accessoirement je trouve la langue française très compliquée avec ces nombreuses règles.
De temps en temps, en cas de doute, je vais voir les règles à appliquer mais cela s’arrête là.
Et pour qu’il n’y ait pas d’ambiguïtés sur le sujet : si vous avez un soupçon, n’hésitez pas à aller chercher le dictionnaire.
Cependant, si malgré ses précautions, le doute demeure trop important et que je n’ai pas réussi à trancher sur l’orthographe d’un mot ou sur une tournure de phrase, c’est simple, je ne m’embête pas : je réécris la phrase dans une tournure me permettant d’être certain de mon coup.
Je vais prendre un exemple :
Disons que je dois écrire la phrase suivante : « écrire un article sans fautes ». Je pourrais passer un certain temps à me demander avec ou sans S pour le mot faute. Alors ici j’écrirai « écrire un article sans une seule faute ». Voilà !
Comme dirait Lao Tseu : ne mener les guerres que l’on est certain de gagner (bon, après entre nous je ne pense pas qu’il ait formulé ceci en pensant à la rédaction de texte mais vous avez compris l’idée 😂)
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4. La curiosité
Voici le point fun.
Un bon moyen de progresser aussi bien en style qu’en orthographe est de lire beaucoup.
Et, idéalement, cette lecture doit être variée : presse, revues mais aussi livres, nouvelles, etc.
Et si possible de qualité.
Mais, déjà, si vous pouvez vous imposer une heure de lecture par jour, vous réussissez là une très jolie routine.
5. Utilisez plusieurs correcteurs orthographiques
Voici une astuce peu connue et elle répond à la question suivante : pour quelles raisons utiliser un seul correcteur ?
Ainsi, à titre personnel, tous mes textes sont d’abord écrits dans le logiciel Microsoft Word. 1ère moulinette.
Ensuite le texte est vérifié dans Google Docs où j’y aurais installé le correcteur orthographique Merci App.
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Et troisième moulinette : l’éditeur de texte de mon blog.
Pour une raison qui m’est inconnue, certaines fautes sont repérées par Microsoft Word et non MerciApp et inversement.
Note : mais ce travail fait par les correcteurs automatiques doit être réalisé après la relecture. C’est-à-dire après votre version définitive.
Pour aller plus loin sur le sujet
Revenir au début de cet article sur les astuces pour écrire sans fautes d'orthographe.
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