La liste ultime des meilleurs films pour entrepreneurs
Vous êtes entrepreneurs à la recherche d’un peu de motivation ? Ou vous êtes tout simplement en quête d’un peu d’inspiration pour votre projet entrepreneurial ?
Que vous soyez dans l’un, l’autre, ou les deux cas, une solution, et en se divertissant s’il vous plaît, se trouve à travers le visionnage d’un film d’entrepreneurs.
Vous trouverez ci-dessous une liste -ne faisons pas preuve de fausse modestie- ULTIME de films portant sur la vie d’entrepreneurs, des entrepreneures et sur le business.
Les business abordés par nos entrepreneurs au sein de cette liste sont variés; et celle-ci comme vous pourrez le constater remonte du milieu du siècle dernier jusqu’à nos jours (2020-2022).
Certains films retracent le parcours d’entrepreneurs, d’autres, plus insolites, s’attardent sur certains aspects qui entourent la vie d’un entrepreneur. Comme par exemple, le côté fou du trader Jordan Belfort.
Si vous cherchez la vérité cachée sur l’entrepreneuriat, c’est un vaste projet que je ne saurais garantir. En revanche, observer la diversité des parcours mais aussi les épreuves et la façon qu’ont les entrepreneurs d’y réagir est une jolie première étape.
Vous trouverez pour les films, en annexe, ma critique tout à la fois cinématographique que l’enseignement a en retiré.
En lieu et place d’un classement, cela me semble compliqué passé un certain nombre, j’indiquerai donc un avis. Voilà.
Allez, action !
Si vous êtes plutôt documentaire, cet article : “La liste ultime des documentaires pour entrepreneurs”
Affiche du film Big George Foreman (2023)
Big George Foreman
Sujet : Big George Foreman ou la miraculeuse histoire de l’ancien et futur champion du monde des poids lourds. Celle-ci est basée sur la remarquable et véritable histoire d’un retour unique et triomphale unique dans l’histoire du sport.
Nourri par une enfance pauvre, Foreman a dû canalisé sa colère afin de devenir le médaillé d’or olympique et champion du monde des poids lourds.
Rotten Tomatoes (score moyen du public) : 96%
Date de sortie : 2023
Distribué par : Sony Pictures Releasing France
Critique : D’un point d’un de vue entrepreneurial peut se poser la question d’insérer un film de sport dans ce classement. Mais depuis la jurisprudence Moneyball et l’incroyable Without Limits, le débat a été tranché.
De plus, le pont entre l’entrepreneuriat et le sport n’est - comment dire - à démontrer : dépassement de soi, gestion de l’échec, pari sur une grande carrière.
Pour ce qui est maintenant du film : déjà une bonne réalisation et un rythme plutôt bien maintenu.
Sans trop spoiler mais la question de la “gestion de fortune” plus celle du “comeback”, s’il devait rester la question de l’inspiration entrepreneuriale, balaie tout : de la question de la confiance à accorder (ou pas) à ses proches mais aussi du fameux “pivot” que peut avoir à traiter tout entrepreneur qui se respecte.
Bref le film Big George Foreman donne du punch parce qu’aussi inspirant que divertissant. Donc à visionner sans hésitation.
Tetris (2023)
Tetris
Sujet : Inspiré d’une histoire vraie, le récit de la naissance du jeu le plus addictif du monde.
Rotten Tomatoes (score moyen du public) : 88%
Date de sortie : 2023
Distribué par : Apple TV+
Critique : Eh, le film est fou. Ou l’histoire puisqu’inspirée d’une histoire vraie. Quand je dis que le film est fou, on parle d’un pays - ici la Russie - loin de la culture de l’entrepreneuriat à laquelle nous sommes habitués, d’un méli-mélo administratif sur lequel nous sommes peu habitués et, enfin, d’une bataille surréaliste entre concurrents désireux de racheter la licence de jeu si prometteuse.
Affiche du film Lamborghini : the man behind the legend (2022)
Lamborghini : The Man Behind the Legend
Sujet : Adapté du livre de son fils Tonino, le film retrace la vie de Ferruccio Lamborghini, le célèbre créateur de la marque automobile éponyme.
Rotten Tomatoes (score moyen du public) : 29%
Date de sortie : 2022
Distribué par : Lionsgate
Critique : Alors je préviens tout de suite et je vais être cash : le film est très moyen. Non, en fait, il est presque nul.
Cependant, comme dans beaucoup de adaptation cinématographique, ce dernier est sauvé par le scénario.
Comme beaucoup de parcours d’entrepreneurs, ceux qui créent la légende, l’histoire est folle alors on ne fait plus très attention au reste.
Ok, réalisation bouclée, courses pas folles, acteur principal pas crédible, bref, Lamborghini a davantage de l’excellent téléfilm qu’un opus.
Affiche du film Elvis (2022)
Elvis
Sujet : La biographie musicale raconte l’histoire d’Elvis Presley. De son ascension à la célébrité à la naissance de la légende de Rock’n’Roll, la vie d’Elvis Presley à travers le prisme de sa relation compliquée avec son manager, le Colonel Tom Parker et sa relation passionnée avec son ex-femme, Priscilla.
Rotten Tomatoes (score moyen du public) : 94%
Date de sortie : 2022
Distribué par : Warner Bros
Critique : Si vous vous demandez ce que ce film autobiographique sur la carrière d’un chanteur fait ici dans cette série de films sur l’entrepreneuriat, commençons par cette phrase, prononcée au début du film par le manager d’Elvis Presley : “Cela n’a pas d’importance si vous faites 10 choses stupides tant que vous en faites une de brillante”. L’entrepreneuriat c’est cela. Voilà pour démarrer.
Si vous êtes un tant soit peu sensible à la musique, et plus encore au rock, foncez sans hésitation.
Sur le film en lui-même, je l’ai trouvé un peu long (2h39) mais au regard de la carrière du personnage, était-il possible de faire moins ?
Autrement, le film est sympa à visionner et bénéficie d’une bonne réalisation. À noter : rarement un personnage incarné par Tom Hanks (ici le colonel) ne m’avait autant agacé😠. En espérant que vous souffrirez moins que moi.
D’un point de vue entrepreneurial, restons quelques instants sur le colonel et la leçon qu’il nous donne est assez incroyable : “Ne regardez pas le produit, ne le jugez pas, analysez plutôt son impact sur ses utilisateurs. Vous verrez alors le plus sûrement si vous détenez ou non une pépite.”
Je ne suis pas dans la tête du colonel et de plus il s’agit ici d’une vision du personnage propre au réalisateur. Cependant, on peut noter quelques caractéristiques intéressantes d’un point de vue entrepreneurial :
Une capacité redoutable à cerner les gens et leur potentiel
Un opportunisme toujours en alerte
Affiche du film Eiffel (2021)
Eiffel
Sujet : La vie, d’un point de vue très romancé (et imaginé), de Gustave Eiffel, le plus célèbre des ingénieurs parisiens. L’histoire démarre tout juste après sa contribution à la construction de l’œuvre de la Statue de la Liberté. Le gouvernement français souhaite que l’iconique entrepreneur s’attelle à une création spectaculaire à l’occasion de l’Exposition Universelle de 1889 à Paris mais Eiffel ne s’intéresse qu’au projet métropolitain.
Tout bascule lorsqu’il recroise son amour de jeunesse. Leur relation aussi interdite que passionnée l’inspire à changer l’horizon de Paris pour toujours.
Rotten Tomatoes (score moyen du public) : 89%
Date de sortie : 2021
Distribué par : Pathé Distributon
Critique : Impressionnante interprétation de Romain Durris. L’acteur joue exprime à merveille l’ascenseur émotionnel agitant tout entrepreneur.
Pour le reste : d’un point de vue enseignement entrepreneurial, on repassera.
Très bon film mais le film est énormément axé sur la romance (fictive) de notre entrepreneur. Ainsi, en soi, le film n’est pas très désagréable à visionner mais on survole trop (et selon moi) la partie entrepreneuriale ainsi les difficultés rencontrées par Gustave Eiffel.
Ce film est donc à prendre davantage comme une “introduction” au récit entrepreneurial lié à la construction de la Tour Eiffel.
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Affiche du film House of Gucci (2021)
House of Gucci
Sujet : L’histoire s’attarde sur les années précédant la disparition de Maurizio Gucci le 27 mars 1995, petit-fils héritier de Guccio Gucci, fondateur de la marque de luxe italienne.
L’ex CEO de la célèbre marque italienne a été victime d’un assassinat commandité par sa future ex-femme Patrizia Reggiani.
Rotten Tomatoes (score moyen du public) : 83%
Date de sortie : 2021
Distribué par : Universal Pictures
Critique : Fusion des séries américaines Dallas et Santa Barbara, le tout accompagné d’une sauce entrepreneuriale, l’ensemble prend. Même si, à titre personnel, et au regard de notre classement, j’aurais apprécié un développement autour du fondateur.
Le film en lui-même est bien emmené. Difficile de connaître précisément l’ambiance autour de la dispute de l’héritage d’une telle maison que Gucci, mais on imagine assez facilement qu’elle fût âpre. Et sans pitié. En ce sens, la réalisation et le choix des acteurs sont à la hauteur de l’enjeu : représenter la lutte de pouvoir sans pitié pour la prise en main de la maison de luxe.
Cependant, la transmission de patrimoine, la recherche d’investisseurs, la gestion de ces derniers une fois au capital sont aussi des sujets à prendre au compte au sein de l’aventure entrepreneuriale.
Affiche du film The Banker (2020)
The Banker
Sujet : Le film The Banker est l’histoire véritable de deux entrepreneurs afro-américains Bernard Garrett (Anthony Mackie) et de Joe Morris (Samuel L. Jackson), auteurs d’un audacieux et risqué système, qui défient le système oppressant et raciste des années 60 afin d’aider les noirs américains en quête du “rêve américain”.
Rotten Tomatoes (score moyen du public) : 100%
Date de sortie : 2020
Distribué par : Apple TV+
Critique : The Banker est le film que tout agent immobilier, courtier immobilier, formateur immobilier ou encore investisseur immobilier devrait voir. Absolument.
Bien entendu, le racisme dans lequel baigne l’histoire n’est plus vraiment transposable à notre époque et à ce coin du globe qu’est la France mais ce milieu comme tous les autres reste une jungle.
Pour en revenir au film, la tension est bien maintenue pendant tout le film, les séquences s’enchaînent avec harmonie, etc. Bref rien à redire. Ma seule frustration provient de la qualité du film…
Je m’explique [SPOIL ALERT]. Le film fait une ellipse entre l’enfance du héros et son entrée dans le milieu immobilier. Entre les deux, son adolescence, son étude, son premier taf, la rencontre avec sa femme, on n’en sait rien.
Cela ne gâche pas l’action du film car l’intrigue est suffisamment dense mais la personnalité de Bernard Garrett, le héros, est si singulière dans sa détermination et son flegme à affronter les difficultés que tout spectateur, en tout cas je le pense, se demandera quel parcours a pu façonner une telle façon de conduire les affaires.
Pour revenir au début de cette liste ultime des meilleurs films pour entrepreneurs.
Affiche du film The Greatest Showman (2017)
The Greatest Showman
Sujet : Le biopic The Greatest Showman s’inspire de l’histoire de la création du cirque Barnum par Phineas Taylor Barnum.
Rotten Tomatoes (score moyen du public) : 86%
Date de sortie : 2017
Distribué par : 20th Century Fox
Critique : Bon, j’ai adoré mais pour les raisons que l’on imagine 😂.
Sur notre sujet qui nous obsède au sein de ce classement à savoir l’entrepreneuriat, l’ensemble est intéressant mais très pauvre. Nous sommes ici sur un scénario très hollywoodien. Certes notre entrepreneur et héros, Phineas Taylor Barnum, incarné par Hugh Jackman, rencontre des “classiques” difficultés mais l’ensemble est très simpliste. Trop peut-être. À vrai dire le “suspense” est quasiment absent.
Il y a quand même quelques puissantes leçons entrepreneuriales. J’en retiens deux. La première est la suivante : de savoir redéfinir les règles du jeu. Ceci à votre avantage bien entendu.
Et la seconde règle : n’ayez jamais peur de pivoter.
Note et P.S : et si j’ai adoré c’est davantage aux parties dansantes et plus encore musicales.
Affiche du film War Dogs (2016)
War Dogs
Sujet : War Dogs est l’histoire de David Packouz et Efraim Diveroli, deux vendeurs d’armes de petite envergure, pensent trouver le jackpot en décrochant un contrat de 300 millions de dollars avec le gouvernement américain. Mais rien ne va se passer comme prévu…
Rotten Tomatoes (score moyen du public) : 69%
Date de sortie : 2016
Critique : War Dogs est (encore) un film où il va m’être difficile d’être objectif. Car, contradiction oblige, autant je déteste les armes pour ce qu’elles représentent, autant je suis fasciné par celles-ci.
Alors quand un film met en scène un défilé d’armes, forcément, je reste hypnotisé tel le lapin par les phares d’une voiture.
Pour le reste : le film réussit à maintenir une tension permanente par un suspense aussi savamment dosé que renouvelé.
D’un point de vue entrepreneurial, War Dogs ne désarme pas. Les deux héros ne manquent pas d’ingéniosité et bravoure pour arriver à leurs fins. Si on met de côté, pendant quelques instants, le fait que l’on parle de seigneurs de guerre, l’ensemble est très inspirant.
Affiche du film The Founder (2016)
The founder
Sujet : L’histoire singulière, comme beaucoup d’histoires d’empire, de la naissance de la plus célèbre chaîne de restauration rapide du monde, Mac Donald’s.
Et elle commence quand, Ray Kroc, un vendeur de mixer, rencontre les propriétaires de McDonald’s, une entreprise de burger basée en Californie du sud. Il réalise le potentiel et décide de faire de cette entreprise familiale le plus gros business de restauration du monde.
Rotten Tomatoes (score moyen du public) : 82%
Date de sortie : 2016
Critique : Je ne serais pas très objectif. D’abord parce que j’apprécie en général la présence et le jeu de Michael Keaton tout comme je déteste la chaîne de restauration et davantage ce qu’elle représente.
Affiche du film Walt Before Mickey (2015)
Walt before Mickey
Sujet : La véritable histoire du légendaire Walt Disney, maître de l’art et du business de l’animation.
Rotten Tomatoes (score moyen du public) : 40%
Date de sortie : 2015
Critique : Ce biopic est parmi notre classement celui où le fondateur a, de mon point de vue, le plus bavé. Deux gros échecs, une situation financière catastrophique (Spoiler Alert : notre héros connaîtra une période, la plus dure, où ce dernier, sans ressources, est presque SDF et doit manger dans les poubelles pour survivre), un père contre lui.
Ce film rappelle que si l’innovation est moteur de croissance, il faut en revanche déployer des trésors de conviction pour convaincre votre entourage, puis vos clients de la valeur de votre projet.
Pour aller plus loin : une critique sur un documentaire sur le même sujet :
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Affiche du film The Intern (2015)
The intern
Sujet : L’histoire tourne autour d’un veuf de 70 ans à la retraite qui devient un stagiaire senior au sein d’un site e-commerce spécialisé dans le prêt-à-porter; là il y formera une amitié et une complicité inattendues avec la workaholic CEO de la start-up.
Rotten Tomatoes (score moyen du public) : 73%
Date de sortie : 2015
Critique : D’un rythme soutenu, le film enchaîne les tribulations de notre duo avec une intensité que l’on peut trouver -coïncidence je ne sais pas- au sein d’une startup.
Légèreté et profondeur se conjuguent à merveille, entre celle notre héros expliquant l’enjeu d’avoir un mouchoir de poche à celle de la question, plus contemporaine, de la place d’une femme ambitieuse et brillante dans un monde encore dominé par la discrimination de genre.
Pour les entrepreneurs dont l’entreprise est en forte croissance, des questions intéressantes sont posées. Je n’en dis pas plus.
La morale entrepreneuriale : qu’importe la taille de votre boîte : si elle est petite, vous aurez des petits problèmes. Si elle est grosse, vous aurez des gros problèmes. Les problèmes ne disparaissent pas avec la croissance. Ils changent juste de nature.
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Affiche du film Steve Jobs (2015)
Steve Jobs (2015)
Sujet : L’histoire d’un des plus célèbres inventeurs du siècle dernier à travers trois moments clés : trois de ses très suivies keynotes (ou moment d’annonce de lancement de produits) : celle de Macintosh en 1984, du NeXT Computer en 1988, et celle de l’iMac en 1998.
Et chacune des séquences se situent derrière les coulisses…
Rotten Tomatoes (score moyen du public) : 73%
Date de sortie : 2015
Critique : Bon, je vous cache pas que je me suis fait un petit peu chier. Cinématographiquement, ma préférence restera sur la version de 2013.
Pour le reste : si vous êtes curieux du personnage, c’est très intéressant. Steve Jobs y est montré à froid, nu. Et on y voit d’abord un homme avec ses qualités mais aussi ses défauts.
Pour aller plus loin : quelques critiques sur des documentaires portant sur le même sujet :
Affiche du film La loi du marché (2015)
La loi du marché (2015)
Sujet : Après avoir perdu son job, à l’âge de 51 ans, Thierry se bat pour trouver un nouveau job. Il finit par prendre un job d’agent de sécurité au sein d’un supermarché, mais, très tôt, fait face à un dilemme moral.
Rotten Tomatoes (score moyen du public) : 61%
Date de sortie : 2015
Critique : Dans La Loi du marché (The measure of a man), nous sommes vraiment dans ce tout ce que je déteste dans les films à la française : une conjugaison d’un rythme lent, une atmosphère déprimante, pas sombre déprimante.
Bref, si vous n’allez pas bien, n’allez pas voir La loi du marché.
Malgré ce début de critique négative, le film n’est pas inintéressant en soi. D’un point de vue entrepreneurial d’abord, parce que c’est tout de même notre sujet, il est intéressant sur le rapport avec les autres et surtout, ses employés (si vous en avez ou si vous allez en avoir).
Enfin, si vous hésitez à vous lancer dans l’entrepreneuriat, c’est un bon film pour vous donner envie d’aborder la chose. En tant qu’entrepreneur, vous n’avez pas moins de problèmes qu’un demandeur d’emploi obligé d’accepter tout et n’importe quoi pour vivre, les difficultés sont juste différentes.
Par conséquent, si le genre de problème rencontré par Thierry, incarné par un Vincent Lindon peu souriant, ne vous dit absolument rien : devenez entrepreneur.
Pour revenir au début de cette liste ultime des meilleurs films pour entrepreneurs.
Affiche du film Joy (2015)
Joy
Sujet : Malgré les difficultés qui lui font face, Joy Mangano, une divorcée et mère de deux enfants, s’élève contre tous les conflits et installe un prospère empire commercial.
Rotten Tomatoes (score moyen du public) : 57%
Date de sortie : 2015
Critique : Si ce n’était tiré d’une biographie, je n’y aurais pas cru, et pourtant…
Si vous rencontrez une seconde de désespoir en tant qu’entrepreneur, allez voir ce film et vous vous direz que vos malheurs sont peu de choses face à ce qu’à connu cette entrepreneure.
Joy Mangano n’est pas un bloc d’acier. Elle a souffert. Elle s’est juste relevée à chaque fois avec une énergie renouvelée. C’est peu et beaucoup en même temps. On ne dira jamais assez de l’importance de la résilience en toutes circonstances.
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Affiche du fikm The Wolf of Wall Street (2013)
The Wolf of Wall Street (le loup de Wall Street)
Sujet : l’ascension fulgurante et la chute extraordinaire d’un trader aussi brillant que malhonnête.
Rotten Tomatoes (score moyen du public) : 83%
Date de sortie : 2013
Critique : S’il n’était mentionné que l’histoire était tiré de faits réels, on aurait grand peine à croire à l’existence d’un Jordan Belfort, incarné ici par Leonardo DiCaprio, tant le personnage est hors-sol. Et pourtant…
D’un point entrepreneurial, ce biopic nous rappelle ô combien l’importance de posséder un minimum quelques talents de vente. D’ailleurs, rien que pour ces passages, le film vaut au moins un visionnage (même si tout n’est pas forcément bon à prendre).
D’un point de vue cinématographique, peu de choses à redire. C’est du bon. Le film est haletant. L’action et le suspense sont bien maîtrisés.
Pour la partie morale entrepreneuriale : soyez une légende 😊
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Affiche du film Jobs (2013)
Jobs (2013)
Sujet : Nouveau biopic sur un des entrepreneurs qui a bouleversé l’univers de l’ordinateur personnel et du smartphone. Ici, nous démarrons à quelques années avant la naissance de la légende.
Rotten Tomatoes (score moyen du public) : 40%
Date de sortie : 2013
Critique : Ce film aurait pu s’appeler “Dans la peau de Steve Jobs”.
Sans être complaisant avec le personnage aux aspects souvent abrupts, le film Jobs, à défaut de nous emmener dans une validation de ces choix et ces décisions, nous permet de les comprendre. Et c’est tant mieux.
À saluer la performance de Ashton Kutcher, l’acteur incarnant le rôle principal, qui prendra soin de nous rendre toutes les mimiques de l’inventeur de l’iPhone.
Pour aller plus loin : quelques critiques sur des documentaires portant sur le même sujet :
Affiche du film Moneyball (2011)
Moneyball (ou “Le Stratège”)
Sujet : Billy Beane, le directeur général d’un club de baseball, et Peter Brand, un diplômé d’économie, défie les conventions en tentant de créer une talentueuse équipe de sports en utilisant des méthodes basées sur la science informatique.
Rotten Tomatoes (score moyen du public) : 86%
Date de sortie : 2011
Critique : Après 30 minutes de visionnage, moi : “Mais ça n’a rien à voir de l’entrepreneuriat !”. Bon pas nul. On se laisse entraîner par le directeur général incarné par un incroyable Brad Pitt mais bon. Et plus on avance, plus une certaine évidence m’apparaît… Mais oui, mais c’est bien sûr !
Comme ce directeur général à qui est demandé l’impossible avec un peu de moyens, l’analogie avec le quotidien de l’entrepreneur n’est pas mince; et ce n’est pas fini.
Pour les futurs dirigeants qui auront à recruter, cette leçon : n’embaucher personne que vous ne soyez pas capable de licencier si les circonstances l’exigeaient.
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Affiche du film The social network (2010)
Sujet : Focus sur la création de Facebook, le plus grand réseau social du monde.
Rotten Tomatoes (score moyen du public) : 87%
Date de sortie : 2010
Critique : Un film intéressant. À titre personnel, j’apprécie quand les personnes ne sont pas dépeintes comme des personnages sans nuances. Et ici, rien n’est blanc, rien n’est noir. Nous ne sommes pas dans un conte de fées.
D’un point de vue entrepreneurial : un très bon enseignement est donné : tout entrepreneur doit avoir à prendre des décisions, et contourner ce moment, aussi difficile soit-il, n’est pas une option.
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Affichedu film Lord of War (2006)
Lord of War
Sujet : L’itinéraire fou d’un marchand d’armes.
Rotten Tomatoes (score moyen du public) : 84%
Date de sortie : 2006
Critique : J’adore.
Ici, je ferais davantage le lien avec un “indépendant” ou un “solopreneur” qu’un “entrepreneur” dans le sens où le protagoniste n’envisage pas son business comme un empire qu’il bâtit avec une notion de recrutement de personnel.
Pirates of Silicon Valley (1999)
The Pirates of Silicon Valley (les pirates de la Silicon Valley)
Sujet : la vie des deux plus grands entrepreneurs qui ont marqué la célèbre Silicon Valley, Steve Jobs et Bill Gates.
Rotten Tomatoes (score moyen du public) : 92%
Date de sortie : 1999
Critique : Il faut que je le revoie (des années que je ne l’ai pas vu 😜).
Pour aller plus loin : quelques critiques sur des documentaires portant sur le même sujet :
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Without limits (1998)
Without Limits
Date de sortie : 1998
Sujet : Without Limits est un film biographique américain sur le sport. Il y narre la relation entre le coureur briseur de record Steve Prefontaine et son entraîneur Bill Bowerlab qui deviendra plus tard le co-fondateur de Nike.
Rotten Tomatoes (score moyen du public) : 91%
Critique : Film très sympa.
Alors le film est focus sur le sport.
Ainsi, au premier abord, je serais tenté d’inviter les amateurs d’entrepreneuriat à passer leur chemin sauf que les “ponts” entre le sport et l’entrepreneuriat sont nombreux : la recherche de performances, l’envie de se dépasser, le travail en équipe, etc.
Et sur la partie entrepreneuriale justement : développons quelques aspects très intéressants du film : on y découvre, Bill Bowerlab, entraîneur et entrepreneur, autant aux petits soins à ses coureurs qu’aux chaussures, conçus par lui-même, qu’il leur met à disposition. Une obsession pour son “produit” et ses “utilisateurs” que l’on trouve au sein de chaque entrepreneur.
Une pépite est à découvrir dans ce film. Dans un échange que je qualifierai de légendaire entre Steve et sa petite amie quand celui-ci lui propose de lui révéler son secret en commençant son teasing par dénigrer le talent.
Oui, Steve révèle qu’il n’a que faire du talent. Son sujet et son secret pour être le meilleur sont sa capacité à pouvoir endurer plus de douleur que n’importe qui (1:00:20).
Citizen Kane (1941)
Citizen Kane
Sujet : Suite à la mort du magnat de l’édition Charles Foster Kane, des reporters s’empressent pour découvrir la signification de ses ultimes derniers mots : “Rosebud”
Rotten Tomatoes (score moyen du public) : 90%
Date de sortie : 1941
Critique : Bon, ici très peu d’enseignement entrepreneurial à retirer.
On devine bien quelques recettes déjà connues : obstination, vision, méprisant du qu’en dira-t’on mais comme dirait l’autre : “c’est un peu court, jeune homme !”.
Cela ne serait pas bien grave si le film n’était pas aussi long via des scènes qui apportent peu de choses et des personnages qui sont la caricature d’eux-mêmes.
À voir au nom de la postérité. Pas plus.
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