Comment trouver des investisseurs pour une création d'entreprise ?

Vous avez une idée de génie, un projet innovant, une envie d’entreprendre ? Bravo ! Mais vous vous heurtez à un obstacle de taille : le financement. Comment trouver des investisseurs pour une création d’entreprise ? Quels sont les critères à respecter pour les convaincre ? Quelles sont les sources de financement possibles ?

Nous allons vous donner quelques pistes pour réussir votre levée de fonds et lancer votre business.

Qu’est-ce qu’un investisseur ?

Un investisseur est une personne ou une organisation qui met de l’argent à disposition d’une entreprise en échange d’une participation au capital, c’est-à-dire d’une part des bénéfices et du pouvoir de décision. Les investisseurs peuvent être des particuliers, des entreprises, des fonds d’investissement, des banques, etc.

Leur objectif est de réaliser un retour sur investissement (ROI), c’est-à-dire de récupérer leur mise de départ et de faire des profits.

Les investisseurs sont donc des partenaires financiers qui peuvent vous aider à créer votre entreprise, mais aussi à la développer, à la faire grandir, à la rendre plus compétitive. Ils peuvent également vous apporter leur expertise, leur réseau, leur expérience, leurs conseils. Mais attention, ils ne sont pas des mécènes : ils attendent de vous que vous leur présentiez un projet solide, rentable et réaliste.



Comment trouver des investisseurs pour une création d’entreprise ?

Trouver des investisseurs pour une création d’entreprise n’est pas une tâche facile. Il faut savoir se vendre, se différencier, se faire connaître. Il faut aussi être prêt à partager son pouvoir et à rendre des comptes.

Voici quelques étapes à suivre pour maximiser vos chances de trouver des investisseurs :

  • Définissez votre besoin en financement : quel est le montant dont vous avez besoin ? Pour quoi faire ? Quand ? Combien de temps ? Quel est le niveau de risque de votre projet ? Quelle est la valeur de votre entreprise ?

  • Élaborez votre business plan : il s’agit du document qui présente votre projet dans ses moindres détails : votre marché, votre produit ou service, votre stratégie commerciale, votre modèle économique, vos prévisions financières, etc. Le business plan doit être clair, précis, cohérent et convaincant. Il doit montrer que votre projet est viable, rentable et scalable (c’est-à-dire qu’il peut se développer rapidement).

  • Préparez votre pitch : il s’agit de la présentation orale de votre projet devant les investisseurs potentiels. Le pitch doit être court (entre 5 et 10 minutes), dynamique, accrocheur et personnalisé. Il doit répondre aux questions essentielles : qui êtes-vous ? Quel est votre problème ? Quelle est votre solution ? Quel est votre marché ? Quels sont vos avantages concurrentiels ? Quels sont vos objectifs ? Quel est votre besoin en financement ?

  • Identifiez les investisseurs adaptés à votre projet : il existe différents types d’investisseurs selon le stade de développement de votre entreprise, le secteur d’activité, le montant recherché, etc. Vous pouvez les trouver grâce à votre réseau personnel ou professionnel, à des événements dédiés (salons, concours, forums…), à des plateformes en ligne (annuaires, réseaux sociaux…), etc. Voici quelques exemples d’investisseurs :

    • Les business angels : ce sont des particuliers qui investissent leur propre argent dans des projets innovants et à fort potentiel. Ils peuvent apporter entre 10 000 et 500 000 euros par projet. Ils sont souvent issus du monde de l’entreprise et peuvent vous faire bénéficier de leur expérience et de leur réseau.

    • Les fonds d’amorçage : ce sont des structures qui financent les entreprises en phase de démarrage (ou seed stage), c’est-à-dire qui ont déjà validé leur concept et réalisé un prototype ou un minimum viable product (MVP). Ils peuvent apporter entre 100 000 et 2 millions d’euros par projet. Ils sont souvent spécialisés dans un secteur ou une thématique (numérique, santé, écologie…).

    • Les fonds de capital-risque : ce sont des structures qui financent les entreprises en phase de croissance (ou growth stage), c’est-à-dire qui ont déjà généré du chiffre d’affaires et qui ont besoin de se développer à plus grande échelle. Ils peuvent apporter entre 2 et 20 millions d’euros par projet. Ils sont souvent généralistes et recherchent des projets à fort potentiel de rentabilité.

    • Le crowdfunding : il s’agit du financement participatif, c’est-à-dire de la collecte de fonds auprès du grand public via des plateformes en ligne. Il existe différents types de crowdfunding selon la contrepartie offerte aux contributeurs : le don (sans contrepartie), la récompense (un produit, un service, une expérience…), le prêt (avec intérêt) ou l’investissement (une participation au capital). Le crowdfunding peut être un moyen de tester votre marché, de fidéliser votre communauté et de créer du buzz autour de votre projet.

  • Contactez les investisseurs : une fois que vous avez identifié les investisseurs qui correspondent à votre projet, vous devez les contacter pour leur proposer un rendez-vous. Pour cela, vous pouvez envoyer un email, un message sur les réseaux sociaux, ou solliciter une mise en relation via votre réseau. L’objectif est d’attirer leur attention et de susciter leur intérêt. Vous devez donc être concis, pertinent et professionnel. Vous pouvez joindre votre business plan ou votre pitch deck (une version simplifiée et visuelle de votre business plan) à votre message.

  • Rencontrez les investisseurs : si les investisseurs sont intéressés par votre projet, ils vont vous inviter à leur présenter votre pitch. C’est le moment de briller ! Vous devez être préparé, confiant et enthousiaste. Vous devez également être prêt à répondre aux questions des investisseurs, qui vont chercher à en savoir plus sur vous, votre équipe, votre marché, votre produit, vos chiffres, etc. Vous devez être honnête, transparent et réaliste. Vous devez également être capable de négocier les conditions du financement : le montant, la valorisation, la dilution, les droits, etc.

  • Signez le contrat : si les investisseurs sont convaincus par votre projet et que vous êtes d’accord sur les modalités du financement, il ne vous reste plus qu’à signer le contrat qui officialise le partenariat. Il s’agit généralement d’un pacte d’actionnaires, qui définit les droits et les obligations des parties. Il est conseillé de se faire accompagner par un avocat ou un expert-comptable pour vérifier la conformité du contrat.


Les critères de sélection et d’évaluation des investisseurs

Vous avez trouvé des investisseurs potentiels pour votre création d’entreprise ? Félicitations ! Mais attention, tous les investisseurs ne se valent pas. Il est important de choisir ceux qui correspondent le mieux à votre projet, à vos valeurs et à vos ambitions.

Comment faire ? Quels sont les critères de sélection et d’évaluation des investisseurs ?

Nous allons vous donner quelques conseils pour ne pas vous tromper.

  • La réputation : c’est le premier critère à vérifier. Quelle est la notoriété de l’investisseur ? Quels sont ses succès et ses échecs passés ? Quelle est sa réputation auprès des entrepreneurs, des autres investisseurs, des médias, etc. ? Vous pouvez vous renseigner sur Internet, dans la presse, sur les réseaux sociaux, ou auprès de votre réseau. Vous pouvez également consulter les avis et les témoignages des entrepreneurs qui ont travaillé avec l’investisseur. Un investisseur réputé peut vous apporter de la crédibilité, de la visibilité et des opportunités. Mais attention, il peut aussi être plus exigeant et plus difficile à convaincre.

  • La spécialisation : c’est le deuxième critère à prendre en compte. Quel est le domaine d’expertise de l’investisseur ? Quels sont les secteurs d’activité, les thématiques, les technologies qu’il privilégie ? Quels sont les types de projets qu’il finance ? Vous pouvez consulter son site web, son portfolio, ses publications, etc. Vous pouvez également lui poser des questions sur ses motivations, ses intérêts, ses attentes, etc. Un investisseur spécialisé peut vous apporter son savoir-faire, son réseau et son soutien. Mais attention, il peut aussi être plus sélectif et plus concurrentiel.

  • L’expérience : c’est le troisième critère à évaluer. Quelle est l’expérience de l’investisseur ? Depuis combien de temps il investit dans des entreprises ? Combien de projets il a financé ? Quels sont les résultats obtenus ? Vous pouvez consulter son CV, ses références, ses statistiques, etc. Vous pouvez également lui demander des exemples concrets de ses interventions, de ses conseils, de ses accompagnements, etc. Un investisseur expérimenté peut vous apporter sa vision, sa stratégie et sa confiance. Mais attention, il peut aussi être plus influent et plus intrusif.

  • La proximité géographique : c’est le quatrième critère à considérer. Où se situe l’investisseur ? Dans quelle ville, quelle région, quel pays ? Est-il facilement joignable et disponible ? Est-il prêt à se déplacer pour vous rencontrer ? Vous pouvez vérifier son adresse, son numéro de téléphone, son email, etc. Vous pouvez également lui proposer un rendez-vous physique ou virtuel pour faire connaissance. Un investisseur proche géographiquement peut vous apporter sa présence, sa réactivité et sa proximité. Mais attention, il peut aussi être plus envahissant et plus pressant.

  • La compatibilité stratégique et humaine : c’est le cinquième critère à vérifier. Quelle est la vision de l’investisseur ? Quels sont ses objectifs, ses valeurs, sa culture ? Quel est son style de management, sa personnalité, son caractère ? Est-il en phase avec votre projet, votre équipe, votre ambition ? Vous pouvez discuter avec lui de vos points communs, de vos différences, de vos synergies, etc. Vous pouvez également tester votre relationnel, votre feeling, votre confiance mutuelle. Un investisseur compatible stratégiquement et humainement peut vous apporter son adhésion, son implication et son harmonie. Mais attention,il peut aussi être plus rigide et plus conflictuel.

Voilà, vous connaissez maintenant les critères de sélection et d’évaluation des investisseurs. Nous espérons que ces conseils vous aideront à choisir les meilleurs partenaires financiers pour votre création d’entreprise.

N’oubliez pas que trouver des investisseurs n’est pas une fin en soi, mais un moyen de réaliser votre projet. Comme le disait Antoine de Saint-Exupéry : « Fais de ta vie un rêve, et d’un rêve, une réalité ».


Les alternatives aux investisseurs pour financer son entreprise

Vous avez une idée de génie pour créer votre entreprise, mais vous ne savez pas comment la financer ? Vous avez frappé à toutes les portes des banques et des investisseurs, mais personne ne veut vous suivre ?

Ne désespérez pas, il existe des alternatives aux investisseurs pour financer votre projet.

Voici quelques pistes que nous vous proposons de découvrir.

  • L’autofinancement : l’autofinancement (appelé aussi “bootstrapping”) est la solution la plus simple et la plus économique. Il s’agit d’utiliser vos propres ressources financières, comme votre épargne personnelle, ou celle de vos proches, comme votre famille ou vos amis. C’est ce qu’on appelle la love money, ou l’argent du cœur. L’avantage, c’est que vous n’avez pas à payer d’intérêts ni à partager le contrôle de votre entreprise.
    L’inconvénient, c’est que vous prenez tous les risques et que vous limitez votre capacité d’investissement.
    Comme le disait le célèbre entrepreneur américain Mark Cuban : « N’empruntez pas d’argent pour démarrer une entreprise. C’est un piège ».

  • Le crowdfunding : c’est la solution la plus tendance et la plus participative. Il s’agit de solliciter le soutien financier du grand public, via une plateforme en ligne, en échange d’une contrepartie.
    Il existe trois types de crowdfunding : le don, avec ou sans récompense, le prêt, avec ou sans intérêt, et l’equity, qui consiste à céder une part du capital. L’avantage, c’est que vous pouvez lever des fonds rapidement et facilement, tout en créant une communauté autour de votre projet.
    L’inconvénient, c’est que vous devez proposer une offre attractive et convaincante, et respecter vos engagements vis-à-vis de vos contributeurs.
    Comme le disait le célèbre entrepreneur français Xavier Niel : « Le crowdfunding est un formidable outil de démocratisation de l’entrepreneuriat ».

  • Les aides publiques : c’est la solution la plus sécurisante et la plus avantageuse. Il s’agit de bénéficier de subventions, de prêts ou d’exonérations accordés par l’État ou les collectivités locales aux créateurs d’entreprise. Il existe de nombreuses aides publiques, selon le type, le secteur ou la localisation de votre projet. L’avantage, c’est que vous pouvez obtenir des financements non remboursables ou à taux réduit, tout en bénéficiant d’un accompagnement personnalisé.
    L’inconvénient, c’est que vous devez respecter des critères d’éligibilité et des démarches administratives souvent complexes.
    Comme le disait le célèbre entrepreneur britannique Richard Branson : « Si vous avez besoin d’aide financière pour démarrer votre entreprise, n’hésitez pas à demander des subventions ».

    Pour aller plus loin sur le sujet : “Toutes les aides publiques pour les entreprises” et “Quelles aides peuvent être demandées en cas de projet innovant ?

Voilà quelques alternatives aux investisseurs pour financer votre entreprise.

Bien sûr, il en existe d’autres, comme, vu plus haut, le bootstrapping, qui consiste à réduire au maximum vos besoins financiers en optimisant vos ressources, ou les concours, qui vous permettent de gagner des prix en argent ou en nature en présentant votre projet à un jury.

Quelle que soit l’option que vous choisissez, n’oubliez pas que le plus important est de croire en votre idée et de la faire connaître au monde entier !

Bonne chance !


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Les erreurs à éviter lors de la recherche d’investisseurs

Vous êtes à la recherche d’investisseurs potentiels pour votre création d’entreprise ?

Attention, il ne suffit pas de trouver des fonds pour réussir votre projet. Il faut aussi éviter de commettre certaines erreurs qui pourraient compromettre votre relation avec les investisseurs, voire mettre en péril votre entreprise.

Quelles sont ces erreurs ? Comment les éviter ?

Nous allons vous donner quelques pistes pour ne pas vous planter.

  • Ne pas avoir un projet suffisamment mature ou innovant : c’est la première erreur à éviter. Si votre projet n’est pas assez abouti, si votre produit ou service n’a pas été testé sur le marché, si vous n’avez pas de preuve de concept ou de minimum viable product (MVP), vous risquez de ne pas intéresser les investisseurs. Ils cherchent des projets qui ont un potentiel de croissance, qui répondent à un besoin réel et qui se distinguent de la concurrence. Vous devez donc travailler sur votre projet avant de le présenter aux investisseurs, en validant votre idée, en réalisant une étude de marché, en développant un prototype, etc.

  • Ne pas avoir une équipe solide et complémentaire : c’est la deuxième erreur à éviter. Si vous êtes seul ou si votre équipe n’est pas assez qualifiée, expérimentée ou motivée, vous risquez de ne pas convaincre les investisseurs. Ils cherchent des entrepreneurs qui ont des compétences techniques, commerciales, managériales, etc., qui sont capables de travailler ensemble, de s’adapter aux changements, de surmonter les difficultés, etc. Vous devez donc constituer une équipe performante et cohérente avant de solliciter les investisseurs, en recrutant des profils complémentaires aux vôtres, en définissant les rôles et les responsabilités de chacun, en créant une culture d’entreprise, etc.

  • Ne pas avoir une vision claire et réaliste du marché et de la concurrence : c’est la troisième erreur à éviter. Si vous ne connaissez pas bien votre marché, si vous n’avez pas identifié votre cible, si vous n’avez pas analysé vos concurrents, vous risquez de ne pas séduire les investisseurs. Ils cherchent des projets qui ont un marché porteur, qui ont une proposition de valeur unique, qui ont un avantage concurrentiel durable, etc. Vous devez donc étudier votre marché avant de rencontrer les investisseurs, en définissant votre segment, en évaluant la demande, en mesurant les opportunités et les menaces, etc.

  • Ne pas avoir un business plan cohérent et convaincant : c’est la quatrième erreur à éviter. Si vous n’avez pas rédigé un business plan complet, précis et professionnel, si vous n’avez pas chiffré vos prévisions financières, si vous n’avez pas défini vos objectifs et vos indicateurs de performance, vous risquez de ne pas rassurer les investisseurs. Ils cherchent des projets qui ont un modèle économique viable, rentable et scalable (c’est-à-dire qui peuvent se développer rapidement), qui ont une stratégie commerciale efficace et adaptée au marché, qui ont des besoins en financement clairs et justifiés, etc. Vous devez donc élaborer un business plan solide avant de solliciter les investisseurs.

  • Ne pas savoir se vendre et se différencier : c’est la cinquième erreur à éviter. Si vous n’avez pas préparé votre pitch, si vous n’avez pas travaillé votre discours, si vous n’avez pas mis en valeur votre projet, vous risquez de ne pas attirer les investisseurs. Ils cherchent des projets qui ont un potentiel de séduction, qui ont une histoire à raconter, qui ont une personnalité à affirmer. Vous devez donc soigner votre pitch avant de le présenter aux investisseurs, en résumant votre problème, votre solution, votre marché, votre avantage concurrentiel, votre besoin en financement, etc. Vous devez également être confiant, enthousiaste et passionné. Comme le disait Oscar Wilde : « Soyez vous-même, les autres sont déjà pris ».

  • Ne pas être transparent et honnête : c’est la sixième erreur à éviter. Si vous cachez des informations, si vous embellissez la réalité, si vous mentez sur vos chiffres, vous risquez de ne pas fidéliser les investisseurs. Ils cherchent des projets qui ont un potentiel de confiance, qui ont une éthique irréprochable, qui ont une intégrité sans faille. Vous devez donc être transparent et honnête avant et après avoir obtenu le financement des investisseurs, en communiquant régulièrement sur l’avancée de votre projet, en reconnaissant vos erreurs, en assumant vos responsabilités, etc. Vous devez également respecter vos engagements, vos délais et vos obligations. Comme le disait Benjamin Franklin : « L’honnêteté est la meilleure des politiques ».

Voilà, vous connaissez maintenant les erreurs à éviter lors de la recherche d’investisseurs. Nous espérons que ces conseils vous aideront à éviter les pièges et à réussir votre levée de fonds. N’oubliez pas que trouver des investisseurs n’est pas une garantie de succès, mais une opportunité de croissance. Comme le disait Winston Churchill : « Le succès n’est pas final, l’échec n’est pas fatal : c’est le courage de continuer qui compte ».

Si vous avez des questions ou des commentaires, n’hésitez pas à nous les faire part ci-dessous.

Et si vous avez besoin d’un accompagnement personnalisé pour trouver des investisseurs pour votre création d’entreprise, contactez-nous ➡ je veux me faire financer.


FAQ

Quelle est la différence entre un investisseur et un prêteur ?

Un investisseur est une personne ou une organisation qui prend une participation au capital d’une entreprise en échange d’un financement. Un prêteur est une personne ou une organisation qui accorde un crédit à une entreprise en échange d’un remboursement avec intérêt.

Comment négocier avec des investisseurs ?

La négociation avec des investisseurs est une étape délicate qui nécessite de la préparation, de la confiance et du dialogue.

Il faut être prêt à :

  • Défendre la valeur de son projet et de son entreprise, en se basant sur des données objectives et des comparaisons pertinentes

  • Discuter des modalités du financement, comme le type d’investissement (capital, dette, mixte), le montant, la durée, les garanties, etc.

  • Définir les droits et les obligations des parties, comme le contrôle de la gestion, le partage des bénéfices, les clauses de sortie, etc.

  • Trouver un équilibre entre les intérêts des investisseurs et ceux des entrepreneurs, en cherchant à créer une relation de confiance et de partenariat.



Conclusion

Trouver des investisseurs pour une création d’entreprise est un défi qui demande du temps, du travail et de la persévérance. Mais c’est aussi une opportunité de faire grandir votre projet, de bénéficier d’un soutien financier et humain, et de réaliser vos rêves.

Comme le disait Steve Jobs : « Soyez insatiables. Soyez fous ».

Si vous souhaitez approfondir le sujet, nous vous invitons à consulter nos articles de blog sur www.youworkhere.biz/blog. Vous y trouverez des conseils pratiques, des témoignages d’entrepreneurs, des actualités sur l’écosystème entrepreneurial, etc.

Nous espérons que cet article vous a été utile. N’hésitez pas à nous faire part de vos commentaires ou questions ci-dessous. Et si vous avez besoin d’un accompagnement personnalisé pour trouver des investisseurs pour votre création d’entreprise, contactez-nous !


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